Un jour vers 18h mon téléphone a sonné et ma patronne était au bout du fil « Anastasia j'ai un nouveau client et il ne veut que toi. » J'ai accepté sans attendre et j'ai demandé des explications sur le client en question, j'ai découvert qu'il m'attendait à l'hôtel. Je m'étais alors préparé et j'ai été à l'hôtel et dans sa chambre. Nous avons passé la soirée ensemble, jusqu'au lendemain matin. Depuis cette fameuse nuit, tu ne souhaites aucune autre fille que moi dans ton lit, je sais que je devrais m'en voir flatté que je te plaise autant et je dois avouer que tu es le seul client vers qui je reviens. Cinq mois plus tard, un soir lorsque tu as demandé une fois de plus après moi pour te satisfaire, je suis venue comme d'habitude te rejoindre dans ta chambre et à peine j'avais franchi la porte que je fus plaqué contre le mur et tes lèvres se retrouvèrent une fois de plus contre les miennes pour un baiser sauvage et fougueux, lorsque le manque d'air c'est fait saisir nous avons interrompu le baiser, j'en ai profité pour dire. « Pourquoi moi ? » Mais tu ne m'as rien répondu, tu as fermé la porte à clé et tu as commencé à me déshabillé. Je n'ai pas demandé mon reste, car après cinq mois de fréquentation, tu savais comment m'excitais, comment me faire gémir et me faire jouir... Mais ce soir-là j'étais plus que déterminée pour savoir pourquoi moi et pas une autre et j'avais déjà mon idée en tête pour te faire craquer. Je me suis alors mis à mon tour à te déshabillé lentement et sensuellement, je t'ai guidé jusqu'au lit je t'ai allongé dessus venant à califourchon sur toi. Je me suis alors mise à t'excitais avec mes mains, mes lèvres, ma langue, ma bouche, tu n'étais plus que gémissements entre mes mains, j'ai profité de ce moment où tu étais à ma merci pour réitéré ma question. « Pourquoi moi ? » Sans que je m'y attende, tu m'as plaqué contre le lit, planté ton regard dans le mien et tout en prenant possession de mon corps tu as fini par me répondre. « Parce que je t'aime Ana'... Je t'aime... » Surprise ? Bien sûr que je l'ai été, qui ne le serait pas après une annonce pareille, mais je n'ai même pas eut le temps de répondre que tu m'embrassais tendrement et passionnément... Cette nuit-là tu m'as fait amoureusement, tendrement et passionnément l'amour, me murmurant à mon oreille des tendres je t'aime, qui à chaque fois me fendait le coeur chaque fois un plus lorsque tu le prononçais, car je savais que je ne pouvais pas te rendre tes sentiments, car mon travail me l'interdisait... Mais à ton réveil je n'était plus là... Cela fait deux mois que nous nous voyons plus et pourtant nous vivons dans le même hôtel, mais je sais par les femmes de ménage que tu passes souvent devant la porte de ma chambre. Un soir alors que je me préparais à ouvrir la porte, pour sortir accompagné un homme à une soirée de son entreprise, je t'ai entendu murmuré. « Tu me manques Ana'. » Mon coeur c'est serré en entendant ta voix et mon surnom, je me suis retenu de pleurer et j'ai fait attention à ne pas faire de bruit, pour pas t'alerter de ma présence dans ma chambre. Comment vont se passer les retrouvailles entre nous ? Je n'en sais rien et j'avoue que je retarde et redoute beaucoup ce moment.